L’amour est dans le pré : un indien dans la ville

Il me semble que je dois commencer ce résumé par de plates excuses. Oui, j'avoue et je m'incline bien bas. La semaine dernière, d'autres obligations m'ont empêchée de regarder L'amour est dans le pré et j'ai lâchement visionné le DVD gracieusement prêté par une connaissance. Seulement le temps que je me rende compte que Dany avait demandé à être coupé au montage, il était trop tard. Mea culpa les amis, mea culpa. Après, l'avantage, c'est que vous savez quand même ce que Dany a fait et pourquoi il a voulu être coupé au montage. Le rustre. Bon allez, promis, cette semaine j'ai vraiment regardé le vrai épisode diffusé sur la vraie chaîne et sur une vraie télé. Ce résumé sera donc authentique.

Thierry découvre Paris

Le problème... c'est qu'il n'y a pas grand-chose à dire. Enfin si, il y a évidemment certains événements sur lesquels je pourrais m'attarder sauf que je n'en ai pas envie. Je sais que vous savez de qui je pourrais parler. Justine bien sûr. Bah oui. Je suis confrontée à un cruel dilemme : soit je parle du comportement de Justine et je lui fais de la pub (ce que j'abhorre au plus haut point), soit je parle du reste et ce résumé devient totalement inintéressant. Parce qu'avouons-le nous, il ne s'est rien passé de bien captivant chez Thierry ou encore chez Rémi.

Enfin si, il y a bien eu une petite scène de jalousie chez Léa et Rémi mais comparé à l'énorme crise d'Héléna la semaine dernière (oui, je sais, ça a été coupé au montage mais je vous ai quand même tout décrit, suivez un peu), ça n'a rien à voir. Et chez Thierry... Ah mais je sais de quoi je peux vous parler ! Bon sang mais c'est bien sûr ! L'arrivée de Thierry à Paris ! Quel moment larmoyant. Larmoyant de rire, évidemment. Qu'on se le dise, Thierry est une rock star. Je vais passer sur son état quand il a découvert la gare Montparnasse, les escalators et tous ces gadgets de l'homme moderne. Mais quand il a découvert... LE CHIEN ! Je cite : "J'espère que tu vas m'accepter, que tu vas pas me manger le petit zizi demain matin hein !". Réminiscences du film Teeth. Non, je ne regarde pas de films étranges, je ne vois pas de quoi vous parlez.

"Comment tu la prends quand elle est chaude ?"

A ce moment-là, je pensais qu'on avait atteint le summum de la perle. Naïve que je suis. Quand Thierry a découvert les casseroles, mes yeux ont pétillé et j'ai senti venir le fou rire taille maousse : "Mais pourquoi t'as des casseroles comme ça, elles ont même pas de queue ta casserole ! Comment tu la prends quand elle est chaude ?! Chez nous les casseroles, elles ont des queues, c'est comme les bonhommes ahahah". Telle que vous me lisez, je suis actuellement décédée. Sur ma tombe, veuillez noter : "A Solène, que le hoquet a ôtée à notre monde". Je ne vous parle même pas de la découverte du RER, on aurait dit un remake de Crocodile Dundee.

En fait, j'ai bien fait de vous parler de Thierry, ça m'a mise de bonne humeur. Si je vous avais parlé de cette gourgandine de Justine, je me serais couchée de mauvais poil et ça m'aurait bousillé ma journée de demain. Donc je vais vous laisser sur ces beaux mots de Thierry : "C'est les montagnes qui tombent sur la tête d'un manchot. La tête d'un manchot qui n'a jamais vu les montagnes". Vous avez quatre heures.

Solène